Japon : Tokyo

Nous voici bien arrivés depuis une semaine. Faute d’internet dans la maison, je vous envoie des nouvelles qu’aujourd’hui.
Première remarque à faire : nous nous sommes complètement trompés au niveau des vêtements. Nous avions lu saison des pluies et typhons, et nous arrivons avec une chaleur humide de 25 degrés et un soleil magnifique. Mais nous ne regrettons pas cette température, même si les douches en fin de journée sont attendues avec impatience.

Commence mon récit de la semaine :
Nous sommes arrivés le samedi après-midi. Moi par le vol de Vancouver et Eric par le vol de Toronto. Nous en avons profiter pour remettre nos filmographie à jour : Prince of Persia, Robin Hood etc. J’ai passé les douanes et j’ai retrouvé Éric qui m’attendait là où l’on récupère les bagages.
Nos sacs à dos enfourchés, nous partons récupérer les Japan Rail Pass. Ceci fait, nous allons prendre le Narita Express, qui nous amène directement à Ikkebukuro, un quartier de Tokyo où se trouve la maison.
A la gare nous sortons le mini pc car nous avons une vidéo décrivant le chemin. Nous prenons la bonne direction faisons environ 500 mètres et nous tombons sur Margot, Pierre et Thomas qui s’en allaient manger des Ramen. Premier repas japonais : ce sont des nouilles cuites dans un bouillon avec des légumes et de la viande.
Ensuite nous allons à la maison pour nous coucher. Nous n’allons pas beaucoup dormir finalement à cause du décalage horaire.
Dimanche 3 octobre
Petit déjeuner à la maison comme tous les jours de la semaine. On est pas trop riz au petit déjeuner. Laissez moi cela de français.
Nous allons visiter le quartier d’Ueno où se trouve le zoo à côté d’un lac couvert de fleurs de lotus. Nous visitons un premier temple qui se trouve près du lac.

Notre premier contact avec les nombreux temples que nous allons découvrir tout au long de notre voyage. Ici il y en a presque autant que d’habitants : exagéré mais juste pour vous dire que par exemple à Kyoto on en trouve dans chaque rue.
Éric ne lâche pas sa caméra (appareil photo en québécois) et nous avançons tranquillement pour apprécier chaque élémement du paysage : aussi bien les tenues vestimentaires des japonaises, que le système de parking des autos.
Nous faisons une petite pause dégustation : enfin surtout Thomas et Pierre qui se sont pris une espèce des espèces de beignets fourrés de calamar à un des nombreux petits stands de bouffe qui se trouvent à côté du Lac.

Deuxième destination : le quartier d’Asakusa où se trouve un vieux temple et une rangée de petites boutiques typiquement japonaises. En chemin, nous nous perdons un peu à pied pour finir par comprendre que nous avons trop de distance et que nous devons prendre un métro payant cette fois ci pour arriver à l’endroit ciblé.

Le temple, il est vrai, est magnifique. Une rangée de petites échoppes se trouvent devant le temple. Il y a un monde fou. C’est un lieu très touristique, car les chopines vendent plein de souvenirs qui sont autant destinés aux japonais qu’aux étrangers. Nous ne sommes pas dominant dans la masse des touristes. C’est ce que j’aime ici, on se sent vraiment dépaysé même si tout nous semble accueillant malgré la barrière linguistique.
La fin d’après-midi et la soirée se passent à Ginza qui sont les champs Elysées de Tokyo. Normalement, nous devrions voir des immeubles originaux mais nous n’avons pas du sortir à la bonne place. Nous faisons néanmoins un tour pour finir par manger des sushis dans un restaurant japonais. Nous avons failli ne pas manger ici car cela nous semblait cher. Mais une mamie nous a donné un bon de réduction de 15% , ce qui nous a finalement décidé pour entrer dans le restau.

Mais n’allez pas me dire que l’on mange seulement des sushis ! Les restaurants de sushi représentent peut être 5% des autres restaurants. Regardez un peu ce que l’on mange au Japon. Rien de plus explicite que les devantures de restaurant qui présente les repas sous forme de plat en plastique. Jolie dinette !

Nous rentrons tranquillement à la maison. La nuit sans sommeil et la chaleur ont raison de nous. La nuit se passe bien malgré un petit réveil sur les coups de 4heures du matin où nous regardons deux épisodes de Friends.

Lundi 4 octobre :

Direction Kamakura. Une heure et demi de train et nous voilà arrivés pour découvrir les beautés que cette ville côtière a à nous offrir.
Nous passons la matinée à visiter des petits temples, et à chercher le sentier de randonnée menant au Bouddha.




La carte nous donne du fil à retordre et à midi nous finissons par abandonner et à nous poser pour manger un bon Katsudon dans un restaurant : porc pané surmonté d’une omelette sur un lit de riz.

Nous visitons un temple immense puis nous finissons par trouver le chemin menant au sentier.
A notre surprise le sentier qui commençait en une jolie route pavé se termine en sentier glaiseux et boueux qui suit le long de la crête d’une montagne. Moment intéressant pour nous qui avons des chaussures de randonnée et un peu plus laborieux pour nos amis en chaussures de ville.
Nature luxuriante qui nous entoure. Pas un seul point de vue sur la vallée. Nous ne savons pas combien de temps il nous faudra pour atteindre le bouddha. Je me sens un peu comme Indiana Jones à la recherche du temple perdu, dans une jungle humide et fournie.
Nous arrivons après une heure et demie de marche au grand Bouddha. Les pieds sont maganés. Mon attention au bouddha va revenir après un bon massage de pied. Éric toujours fidèle à son appareil, photographie le bouddha sous toutes les coutures. Éric s‘est vraiment mis dans la peau du Japonais moyen en mode touriste.

Le plein d’images faites, nous reprenons le train à la gare de Kamakura. Un petit contretemps nous retarde : l’oubli du sac photo d’éric sur le quai de la gare. A la maison, la fatigue s’efface pour prendre la douche qui nous redonne un regain d’énergie.

Mardi 5 octobre :

Visite de Shibuya et Shinjuku, deux quartiers juxtaposés de Tokyo.
Nous commençons par Shibuya. Aujourd’hui nous visitons à deux. Nous commençons par le bâtiment gouvernemental. C’est un immense building dans lequel nous pouvons monter au 50e étage pour voir une vue panoramique de la ville de Tokyo. Comme dit Éric, cela aurait été plus beau en soirée. Petit tour par le parc derrière les grattes ciel, où se trouve une jolie chute d’eau artificielle.



Nous redescendons et prenons les souterrains pour aller ensuite à la gare prendre le train pour aller pique niquer dans le yoyogi parc à Shibuya. Nous descendons à la station Harajuku, achetons de quoi manger (moi des onigiri = boules de riz, et Éric un bento = lunch qui lui a été réchauffé. Nous passons la Gate après quelques photos et nous allons nous asseoir dans la partie du parc où on trouve des espaces de pelouse où l'on peut pique niquer. Éric préfère s'asseoir sur un banc, pour dîner, ce que nous faisons. Nous regardons les japonais pique niquer, jouer au badbington, au baseball, se promener dans le parc. Eric en profite pour faire le paparazzi.

Nous finissons de manger et allons au point de rendez vous que nous nous sommes donnés avec les autres. Au Meiji Shrine : un grand temples qui se trouve dans l'autre partie du parc qui n'est composé que d'arbres gigantesques. On se promène sous l'ombrage de ses géants. Nous finissons par accéder au temple. Nous le visitons et tombons par chance sur un mariage traditionnel.

Nous retrouvons Pierre, Thomas et Margot et ensuite nous allons en direction de Shibuya en reprenant le train. Nous nous séparons devant la tour 109 et nous visitons le quartier de notre côté. Avec Éric nous passons par le colline des love hotel. Mais rien ne différencie la place d'une autre à part les panneaux qui indiquent les prix des chambres à l'heure.
Enfin nous nous retrouvons devant la tour 109 et nous finissons par rentrer à la maison.

Mercredi 6 octobre :

Nous sommes partis comme tous les matins vers 9heures et nous sommes allés réserver des billets pour le shinkansen (le train à haute vitesse du japon). Enfin, quand je parle de nous, je parle de Pierre ou Thomas qui parlent japonais et qui peuvent négocier les horaires et les destinations.
Après avoir eu les informations, direction Nikko. Nous devons prendre un train pour Omiya où nous prendrons le shinkansen et ensuite nous prendrons une petite ligne dont le terminus est notre destination.
Malheureusement, en cherchant le bon quai nous avons loupé le shinkansen et au lieu de mettre une heure et demie, nous en avons mis le double, arrivant à midi à Nikko. Sur place, pris par la fin et un peu pour se débarrasser de la tâche, nous sommes entés dans un resto : super déco vieillotte et kitsh. Pierre a comparé cela à un petit resto de Corrèze (la vraie campagne) où il avait mangé. En fait, ce que l’on peut apercevoir de Nikko ce sont des boutiques toutes un peu dans ce style là. Cela donne une impression de village de campagne pris d’assaut par des cars de touristes mais qui n’a pas trop compris comment se réagir.
Le ventre plein, nous allons à pied rejoindre le site des temples. Nous passons par l’office du tourisme, pour acheter le pass combiné, mais on nous fait savoir qu’on peut les acheter sur le site. Nous continuons la marche et nous visitons trois temples différents toute l’après midi.

Le soir vers 17 heures, nous prenons le chemin du retour cette fois sans rater le shinkansen. Nous arrivons à Shibuya vers 19h20 et nous allons nous perdre dans les allés lumineuses et musicales (on a toujours une chanteuse de j-pop au dessus de nos têtes qui chante son dernier tube). Nous avons faim et cherchons un petit restaurant. Le choix se fait pour un restaurant d’Oyonomiyaki : on fait cuire un mélange sur une plaque chauffante. Éric choisit des yakisoba (pates fries) et moi l’oyonomiyaki traditionnel. On se régale mais cela ne semble pas assez, car à la sortie nous allons mangé un Krispy Kreme : un donut après avoir été visité Tokyo Hands, un grand magasin qui vend un peu de tout, genre BHV.
Cela fait, nous partons prendre le chemin du retour.

Jeudi 7 octobre :

Aujourd’hui, nous restons sur Tokyo. Nous avons décidé de passer par un quartier d’instruments de musique qui se trouve près d’Akihabara.

Nous descendons à la station de métro et nous dirigeons vers cette place. Pendant que Thomas et Pierre partent en expédition dans les magasins de guitare, tous les trois nous allons prendre un coca dans un macdo. Nous cherchons un réseau wi-fi mais nous n’en trouvons pas. Il y a seulement un espace réservé pour les joueurs de Nintendo DS. C’est vraiment typiquement japonais.
Pierre et Thomas nous rejoigne et nous partons pour la ville électrique d’Akihabara. Nous nous donnons rendez vous à 14heures devant la gare. Nous avons environ deux heures pour faire le tour du quartier. Nous regardons les objectifs pour l’appareil photo d’Éric. Mais les prix sont les mêmes qu’en Europe et au Québec. Notre seule chance est de trouver des objectifs d’occasion. Nous finissons par tomber sur une boutique de ce genre. Nous pouvons discuter en anglais car elle est tenue par un Pakistanais. Éric trouve son bonheur, enfin disons un objectif qui s’approche de ce qu’il recherchait et nous continuons notre visite. Maintenant c’est à mon tour : des boutiques de mangas. Je ressors avec quelques petits gugusses que j’achète dans des sortes de distributeurs à hauteur de 200, 300 yen (2-3euros). Pour dîner, nous nous contentons d’onigiri : boules de riz fourrées, et nous rejoignons les autres à la gare.
Nous prenons le métro en direction de Tokyo pour les jardins impériaux où nous promenons.


Après la trépidante Akihabara ou Akiba, nous sommes dans un endroit plus calme. Le summum de la journée et de la zen attitude sera quand on prendra le petit train pour se rendre à Odaiba et voir le coucher de soleil sur la ville, et notamment le Rainbow bridge.

Margot et Thomas, rentrent plus tôt, nous trois continuons le long de la plage. Nous arrivons jusqu’à une statue de la Liberté. Le quartier est luxueux et gagné sur la mer. Il a été pensé et construit. On a de beaux jardins, de belles places, ce qui contraste avec le reste de Tokyo où les immeubles semblent construits au hasard et où il y a de la place.
Nous décidons de rentrer mais nous faisons une halte au macdo pour cette fois ci commander un trio. Chose un peu difficile avec la petite serveuse qui ne comprend pas un mot d’anglais. Enfin on arrive à avoir deux frites, trois sandwichs, des nuggets. Pas trois trio, mais assez à manger (pour moi seulement bien sur) pour 1000 yen. Pour ma part, ne pas retenter, òu plutôt aller au Mos burger comme nous le conseille les guides.
Nous finissons par rentrer malgré l’heure de pointe. Nous faisons un petit état de la journée, regardons les souvenirs de Margot qu’elle a acheté dans le Gakuyenshop. Ce sont des boutiques où l’on trouve des objets à 100 yen et dont j’ai fait de Margot une fanatique !
Oyasumi ! (=bonne nuit)

Vendredi 8 octobre :

Visite de Hakone aujourd’hui. Journée qui commence avec le soleil, et qui nous suivra tout au long de la journée. Pour nous rendre nous avons diversifié les moyens de transport. Pour nous rendre : métro jusqu’à Tokyo station, ensuite shinkansen jusqu’à Odawara, funiculaire jusqu’aux fumerolles, téléphérique pour se rendre au lac, bateau pour traverser le lac, bus pour rentrer à Odawara et chemin inverse avec shinkansen et métro jusqu’à la maison. Nous avons fait une boucle en transport avec un arrêt pour dîner à Hakone motto au bord du lac, avec vue sur le Mont Fuji. Nous avons eu la chance de pouvoir en voir une bonne partie, ce qui je pense est assez rare. Nous avons profité de ce moment de liberté pour aller visiter un temple dont je ne me souviens pas le nom, mais qui se trouve en pleine forêt et qui était très mignon et calme. Les temples près du lac sont marqués par des Tori (des portes rouges) qui sont plantés les pieds dans l’eau. Ainsi on peut repérer depuis le milieu du lac les entrées des temples.
Remarquable au niveau des transports : Le bateau qui a duré une heure environ était également agréable avec la vue sur le lac et les montagnes et une bonne bouffée d’air frais avec le vent qui fouettait nos joues. Mais le plus remuant de tous : le bus dont le chauffeur prenait les lacets de route à une vitesse qui nous a paru pour nous et nos estomacs assez audacieuse.
Nous avons terminé la journée moi et Éric dans les magasins d’électronique pour trouver un sac pour son appareil photo car avec l’achat du dernier objectif, le sien parait un peu petit.

Samedi 9 octobre

Dernière journée sur Tokyo. Tout le monde se sépare pour aller voir ce qu’il désire. Moi et Éric nous allons en direction de Ginza. Malheureusement la pluie est au rendez vous. Nous avons donc sorti le k-way pour moi et le parapluie pour Éric. Nous nous promenons dans la rue et tombons sur l’immeuble Sony. Nous y entrons et nous découvrons les dernières technologies, en rêvons. Nous passons d’une salle à une autre, d’un étage à un autre. Nous finissons par atterrir au dernier étage puis nous redescendons affronter la pluie. Nous finissons par nous aller en direction d’un jardin situé dans le quartier. Mais nous arrêtons au marché aux poissons. Nous faisons un tour, étonné par le monde et les produits proposés. Éric a faim et moi je me laisse tenter par l’idée de prendre un repas de sushis frais au marché de Tsukiji. Nous nous arrêtons donc dans un restaurant. Nous nous asseyons à un bar à sushi et nous nous faisons servir une dizaine de sushis chacun. Un vrai régal. Les papilles sont satisfaites par les textures et les saveurs.

Rassasiés, nous reprenons le chemin des jardins mais la pluie nous dissuade et nous reprenons le chemin pour Ginza. Je veux faire un tour dans un 100 yen shop à Harajuku. Nous prenons donc le train pour nous y rendre. Nous arrivons dans la rue d’Harajuku où on trouvent plein de petites boutiques de vêtements pour fille. La rue est encombrée de parapluies et vu son étroitesse il est plutôt difficile de passer. Mais nous arrivons tout de même à Daiso où je finis par faire quelques achats : un petit portefeuille avec motifs japonais, un moule pour onigiri etc. Nous sortons de la boutique, en nous dirigeant vers la station pour aller voir la Tokyo Tower. Mais Éric se rend compte qu’avec la pluie la visibilité sera moindre et nous décidons donc de faire un petit tour dans notre quartier : celui d’Ikebukuro. Eric visite le Tokyo Hands pendant que moi, je me charge de descendre dans une petite section du building de 60 étages qui propose seulement des boutiques, et beaucoup pour femme. Éric ressort avec un sac, moi avec un bento, un sac à bento et une écharpe.
Nous reprenons le chemin de la maison. Il faut faire les valises. Eric s’arrête pour se prendre à manger, moi je n’ai pas faim après les sushis et nous sommes suivis de près par Margot, Pierre et Thomas qui reviennent du cinéma. Nous faisons un petit jeu : donner une définition la plus approchante à un mot bizarre trouvé dans le dictionnaire. Ce sont les filles qui ont fait le plus de point
Nous finissons par monter faire nos valises, passer un coup de balai et nous coucher.

Dimanche 10 octobre :

Nous nous sommes levés tot pour finir nos valises dans l’attente du check out. C’est un jeune homme de l’agence, Jérémy qui doit venir vérifier l’état de la maison. Nous déjeunons en l’attendant. Il finit par se pointer et vérifie la maison. Il nous glisse qu’il sort d’une soirée bien arrosé, mais je trouve qu’avec ses clients, il lâche trop de détails. Ca ne fait pas très pro. Enfin, une fois son tour fait, nous pouvons partir avec nos lourdes valises pour aller prendre le shinkansen qui nous mènera à Tokyo.
Nous arrivons après deux heures et demi de train à Kyoto. Nous allons prendre le bus qui nous amènera à la maison. Nous ne prenons pas celui qui est devant nous car il est plein. Nous choisissons d’attendre le suivant. Nous serons les premiers à monter et heureusement car le car va se retrouver plein en quelques secondes. Les gens sont tassés et nous ne pouvons pas bouger. Je dois dire que nous serons assez heureux de sortir du bus après 50 min serrés comme dans une boite à sardines.
Descendus, nous attendons à l’arrêt de bus le travel angel. Il finit par arriver à vélo. Il se présente et nous emmène directement à la maison. Daniel nous fait une bonne impression car il prend le temps de tout nous expliquer, et la maison nous plait vraiment : propre, accueillante, lumineuse. Beaucoup plus belle que la précédente.
Une fois l’accueil fait, nous faisons nos lits et vidons nos sacs. Nous partons même une machine, dont nous étendrons le linge après une petite balade dans le quartier où nous découvrons de charmants petits temples au fils de la promenade. A la fin de la promenade, nous passons par l’épicerie pour nous prendre à manger et de quoi faire un apéro.
Nous discutons, et profitons aussi d’internet qui est en wi-fi dans la maison. Quand tout le monde se met à bailler, nous filons nous mettre entre les couettes. Enfin avant de fermer l’oeil, je passe par la douche qui s’impose comme une évidence à mon nez.